Quelques bibliothèques dans mon chez moi.

Quelques bibliothèques dans mon chez moi.

 

L’origine de ce billet est sur un statut Facebook, celui de Fabrice Colin sur lequel est intervenu Julien Simon annonçant qu’il est en train de traduire en français Le roi en jaune de Robert W.Chambers appartenant au domaine public et qu’il souhaite en proposer une version numérique gratuite. Honnêtement, je ne connaissais absolument pas l’auteur et encore moins l’oeuvre donc, mais les réactions m’ont donné furieuse envie de découvrir.

C’est avec un poil de consternation que j’ai lu certains commentaires de la part de «  professionnels ». Cette levée de boucliers a entraîné des articles l’un de Neil Jomunsi ( Julien Simon )  l’autre de Julien Morgan .

Il se trouve que Le Roi en jaune est en vente chez Malpertuis

Pourquoi cette montée en puissance de réactions négatives à la limite du respectueux ? Qu’en pensons-nous, nous lecteurs de cette affaire ? Je vais parler en mon nom.

Après tout, je n’ai aucun scrupule à télécharger du libre et gratuit sur noslivres.net par exemple. Est-ce que pour autant je vais culpabiliser parce que des traducteurs, des illustrateurs ont bossé sur les titres payants ? Non, sûrement pas.

Les personnes qui donnent accès à ces titres libres et gratuits font un gros travail, et là je ne parle pas que de la traduction, de la mise en page etc, je parle de la mise à disposition d’un patrimoine culturel commun, à sa propagation pour l’intérêt de tous, pour le bien de la culture. Et surtout, au fond de moi une petite voix susurre à mon oreille, c’est ça l’égalité d’accès, pas besoin d’avoir le porte-monnaie ouvert et toutes les familles chanceuses qui ont accès à internet peuvent s’offrir une part du patrimoine mondial ( sous certaines conditions ).

Alors pourquoi sous prétexte qu’un éditeur, un traducteur, un illustrateur ( et tous les autres acteurs de cette chaîne) ont bossé sur une version papier de l’ouvrage je devrais culpabiliser de me diriger vers une version numérique gratuite ?

Prenons l’exemple de Lovecraft. J’en ai plusieurs livres papiers, et d’autres en numériques que je n’ai pas achetés, et depuis peu existe grâce à François Bon The Lovecraft Monument qui propose pour un abonnement de 11 € l’accès en continu à tout son contenu ( riche et varié ). Encore plus surprenant direz-vous le fait qu’un accès gratuit me soit proposé ne me fera pas reculer devant un achat par la suite. Pourquoi ? La lectrice en moi cherche la découverte, se fait souvent menée par le bout du nez par sa curiosité vorace et insatiable.

Aussi la mise à disposition gratuite de certains textes me permet-elle de «  défricher » en quelque sorte. C’est en cela que j’approuve le billet de Julien Morgan « Est-ce que proposer du gratuit permet de vendre plus de payant ? Oui ou non. Impossible de savoir avec certitude si un lecteur achète un ebook parce qu’il a été convaincu par le gratuit. »  Ce qui est certain, c’est que les éditeurs qui proposent du gratuit donnent un aperçu de leur travail ( je résume à éditeurs mais vous m’aurez comprise ) et que ce travail s’il est bien fait, et s’il correspond à ma vision en tant que lectrice m’incitera probablement à chercher un titre que je payerai volontiers. Encore une fois, je cite Julien Morgan « Un lecteur qui télécharge gratuitement, c’est un promoteur de plus de votre travail (et de celui de l’auteur). Pour peu que vous fassiez votre boulot sérieusement. »  Ça semble tomber sous le sens, eh bien il faut croire que non pour certains professionnels.

Je n’aime pas utiliser des termes commerciaux pourtant il faut bien en passer par là. Ce qui me fait souvent sourciller d’ailleurs, c’est de me voir qualifier de «  cœur de cible », « masse », « consommatrice », « cliente » mais si au moins tout cela rendait service à ces professionnels ce serait bien, si de tout cela découlait une offre véritable, un vrai respect,souci du lectorat mais non, que nenni …Encore plus exaspérant, sous prétexte que les lecteurs n’y connaissent (-traient ) rien, n’appartiennent pas à ce sacro-saint milieu ils n’auraient qu’à se taire et se garder de toutes interventions sur le sujet. Bon à racker mais pas à suggérer, pas à critiquer …quel comportement édifiant. Ah si j’oubliais, le lecteur peut voter pour des œuvres,des auteurs …ça, par contre le moment venu on sait bien nous trouver, et ça brosse, ça lustre, ça appâte…

Honnêtement, il y a un comportement rapace dans toute cette histoire qui a tendance à me révulser.

Je ne peux pas clore ce billet ( rédigé un peu à l’arrache et à peine structuré mais Stéphane Desienne  et quelques uns m’ont dit que c’est pas plus mal;) ) sans aborder l’auto-édition tant décriée, et souvent méprisée, fort injustement d’ailleurs.

Parce qu’un artiste, ici un auteur ose se lancer seul la qualité de son œuvre serait médiocre et il nuirait à ce sacro-saint monopole de l’édition ? Voyons voir un peu de mon expérience personnelle sur ce sujet. Je lis régulièrement des auto-édités sans sauter au plafond devant les fautes d’orthographe, leurs récits sont la plupart du temps bien fichus. Après c’est comme partout, une question de goûts et de couleurs. Ceci dit, il m’est arrivé de lire des ebooks truffés de fautes, mal fichus proposés par des maisons d’éditions et parfois même d’avoir tiré la sonnette d’alarme en disant: Vous ne pouvez pas le laisser à la vente dans cet état. Pauvre auteur édité qui n’a même pas bénéficié du travail d’un relecteur, d’un correcteur.Alors ? Tout ça pour dire, personne n’est à l’abri d’une coquille même un éditeur aussi prestigieux soit-il.

J’ai beaucoup de respect pour tous les acteurs de la chaîne du livre ( libraires inclus évidemment). Le fait d’acheter du libre et du gratuit ne me rend pas coupable vis à vis de ce monde littéraire. Ce n’est pas à moi, nous lecteurs, de nous remettre en cause mais bien à vous tous de réfléchir avec nous à un avenir plus fleurissant qui ne pourra que réconcilier chacun avec l’amour du lire et de la découverte. Moi, lectrice, je veux avoir le choix.

Je ne suis pas une consommatrice de livre, j’en suis lectrice, je les aime et les respecte quelque soit leur forme (at ).

Ce billet est incomplet, j’en suis consciente. J’ai essayé de retranscrire du mieux possible mon sentiment, mes attentes et mes espoirs.

J’ai écrit ce texte il y a plus de dix ans maintenant. Je le partage sans le remanier. Il y a beaucoup à revoir et à ajouter. Aussi je vais profiter de la Nuit dangereuse de l’écriture de samedi 18 janvier sur le tchat du NaNo français pour le reprendre sérieusement. Vous aurez donc sans doute droit à une version plus « travaillée » et fouillée par la suite.

MINOLTA DIGITAL CAMERAOpinion publique

Ah oui c’est comme çà que pensent les hommes ? Cette fameuse opinion publique aurait un désir de vengeance si grand qu’elle souhaiterait l’enfermement parfois à vie des criminels. Si j’écoutais toute cette vindicte populaire les rues seraient bientôt désertes et les quelques rares passants destinés à devenir des délateurs en puissance, RG à force démultipliée. Les coins de rues tapissés de publicité feraient miroiter des splendeurs aux rares nantis abusant de leurs privilèges pour s’en aller voler du soleil et de l’insouciance sur des plages ravagées si peu de temps auparavant.

L’opinion publique, à en croire les médias, aurait une soif insatiable de pointer du doigt, faire comparaître manu militari toute bizarrerie, tout ce qui ne serait pas conforme et lisse. Ainsi le clochard serait tenu soigneusement éloigné, comme gommé, sa trace ne pouvant être retrouvée qu’à force de patience devant les guichets administratifs. Munissez-vous des documents numéros 001 PQ 002 et rendez-vous au sous-sol…ou sur l’aire de décollage des avions sans retour.

L’opinion publique ? Ah mais quelle grandeur !! S’il vous plaît inclinez-vous donc devant ce qui est sensé représenté un peuple, une nation. Oubliez toute idée personnelle, toute velléité d’indépendance d’esprit, de pensée…vous êtes devenus un ON, un Tout. Soyez extraverti, et vous voilà désigné comme pervers. Vous vous tenez différemment ? Préférez vous les pelouses au banc ? Hop un camion arrivera pour laver l’affront fait à la communauté. Tel était mon état d’esprit au moment où plongeant mon regard dans celui de mon voisin j’y percevais l’éclat bovin de sa béatitude reconnaissante. Au coin du zinc nous devisions sur des banalités évitant soigneusement de nous prendre le chou, sachant intuitivement qu’il nous serait impossible de nous accorder autrement qu’avec une pinte sur le comptoir.

« Dis-moi Roger comment çà se fait que tu es toujours d’accord avec tout le monde ? » à peine prononcée cette maudite phrase je la regrettais. Roger n’était pas en état d’argumenter sans se mettre très bientôt à hurler car il appartient à ce genre de personne qui veule dominer par tous moyens y compris celui de vous assourdir à coups de grandes tirades criardes Doux comme un agneau en temps ordinaire dès le robinet ouvert il s’oubliait dans des dialogues de sourd imposant sa volonté par la voix, le bruit .. Bref tout ce qui personnellement me tapait lourdement sur le système. J’attendais qu’il réponde, inquiète néanmoins de mes propres réactions car point trop me fallait d’agressivité pour m’y mettre à mon tour. Je savais que Roger faisait un digne représentant de cette opinion publique. Il était devenu coutumier d’ignorer ses admonestations contre les ex-détenus, ces violeurs et voleurs, doublés de dealers qui s’en foutaient plein les fouilles sur le dos des pauvres honnêtes gens. Ce n’était pas tant le fait de dealer qui l’ennuyait c’était bel et bien les sommes mises en jeu qui le tarabiscotaient ainsi. Pensait-il un moment aux gosses embrigadés ? Pensait-il un peu au pourquoi ils en étaient arrivés à vivre ainsi ? Non, ils n’étaient que des fainéants qui méritaient de moisir en taule, même les mineurs et peut lui importaient les conditions de détention.

J’attendais l’orage serrant les dents, m’attendant au pire. Roger représentait à lui seul un phénomène social immensément stupide et pourtant complexe qui m’avait amenée si maladroitement à m’exclamer à haute voix.

Le cabaretier me sourit en me faisant un clin d’œil

  • «  je te remets çà ? » me dit-il
  • «  oui, oui, remets-moi la même chose » Roger siégeant sur son tabouret me regardait d’un air curieux, je perdais contenance, me dissolvant petit à petit me voûtant comme une petite vieille.

– « Tu sais je ne suis pas d’accord avec tout le monde hein faut pas confondre, je ne veux pas faire de chagrin alors je pense pas comme çà j’évite à plein de monde de supporter mes jérémiades …parce que moi aussi je peux me plaindre ».

– «  Roger c’est pas çà que j’te dis, tu sembles être toujours d’accord avec la pensée prédominante ! Je t’ai jamais entendu prendre partie pour quelqu’un ou une idée si çà n’était pas des choses en vue et remâchée dans tous les sens par la télé ou la radio. En fait, voilà, tu parles que des choses que les médias t’ont amenées à dire…pourquoi tu ne parles jamais de la pauvreté de Georges, de sa vie de misère ? Pourquoi tu ne te mets jamais en colère contre ceux qui l’ont mené dans la rue ? Tu sais bien qu’il n’y est pour rien ! Toi-même demain tu pourrais perdre ton job et ne plus avoir les moyens de payer ton loyer, ta bouffe alors toi aussi t’irais à la soupe populaire et là tu te sentirais tenu de te justifier en disant que t’es pas un fainéant à la charge de l’Etat. Te justifier ?? Tu te rends compte alors que t’y es pour rien c’est au gouvernement à l’ensemble de la société de savoir garder les gens au sein d’elle-même au lieu de les en écarter comme des pestiférés. On t’aiderait mais t’en aurais honte comme Georges qui s’est de fait écarté de sa famille!! »

– «  Çà va la tête je serai jamais viré de mon boulot j’ai trop de savoir-faire ! T’es folle toi !!!! Et puis Georges il pourrait s’en sortir s’il voulait, tu l’sais bien !! »

– «  Mais enfin Roger tu dérailles là comment veux tu qu’il s’en sorte, il n’a que le RMI et pour combien de temps encore ? et si nous les gens du quartier ne l’aidions pas un peu il serait déjà mort et enterré. C’est quoi l’avenir que tu lui vois à Georges ? Naviguer entre SAMU social, les petits frères des pauvres, se cacher pour pisser au coin d’une rue, regarder les étals sur les marchés en bavant d’envie devant un poulet grillé ? Merde quand même !! Tu l’sais que c’est un mec bourré d’intelligence et de talents. T’as bien vu les dessins à la craie qu’il fait sur les trottoirs le printemps venu …t’as vu, comme nous tous ici, cette incroyable beauté qu’il continue de voir dans cette société pourrie »

Je savais que j’allais vraiment m’énerver. Instinctivement je le faisais contre la mauvaise personne, Roger devenait un exutoire.

Là dessus le cafetier servit à Roger un verre de cognac que celui-ci appréciait plus que la normale, buvant son verre et le tenant tel un Graal il ne cessait d’en faire éloge tandis que son épouse patiemment l’attendait au bout du comptoir n’osant l’interrompre.

HollywoodHollywood a dit ( Daddy, à dada ) de Dominique Sarrazin

Il s’agit d’un discours prononcé à Lille par Dominique Sarrazin ( auteur-metteur en scène ) le 17 janvier 2003 au Splendid Fives, soirée paroles et musiques nommée « Concert pour la paix ». Je l’ai relu ce matin, et j’ai ressenti le même enthousiasme qu’à la première lecture, aussi à défaut de publier une chronique de lecture, j’ai trouvé intéressant d’en partager un extrait avec vous.

Je reprends la présentation de l’éditeur Sansonnet.

« La guerre, vous croyez que c’est mort et blessures, souffrances et ruines, enfants affamés…bref, le règne de l’artillerie et de la sauvagerie ? Si vous pensez cela, vous ne savez pas ce qui compte pour les êtres surhumains qui dirigent la majeure partie de la planète. Si vous vous apitoyez sur les futures victimes, vous ne comprenez rien au destin manifeste des grandes démocraties et votre opinion ne vaut pas cher – c’est Hollywood qui vous le dit. »

Ci-dessous un extrait.

C’est ça un empire. C’est quelque chose ou quelqu’un qui décide d’être pour tout le monde le seul méridien de Greenwich et le premier chapitre de l’histoire.

L’essentiel c’est que ça marche, dit le prêcheur texan et ÇA MARCHE c’est le fondement réel de la constitution américaine, jamais écrit et toujours appliqué : Efficiency

« Dynamisme et souplesse » en bon français du Medef. Les autres comprennent pas trop bien, c’est pourquoi le Texan traite les artistes et les intellos américains de Français.

L’empire, c’est la morale particulière de l’immoralisme général, c’est le moralisme en guise de politique et l’économie en guise de morale ( il y a des écoles en France).

Quand on tient l’audimat par la morale, c’est plus de la politique, c’est le concile de Trente mixé avec « Qui veut gagner des millions ? »

L’empire c’est : vous discutez avec mes arguments mais vous ne discutez pas mes arguments.

Alors il faut d’autres mots, des mots d’auteur, du cinéma d’auteur, de la VO, de la pensée, des chiffres, ceux qui sont sous les chiffres et qui se calculent en ventres ouverts, têtes fracassées, suicides, overdoses, désespoir de cause. Il faut de l’humour, de la résistance scientifique, on est des millions à être quelques uns. On est des millions à ne pas être de la secte, à ne pas être terroristes, on est des millions à aimer l’Amérique, celle qui ne s’aime pas comme elle est, on est des millions à ne plus tolérer les zéros de la tolérance économique maximum, on veut bien marcher avec des Nike ( on n’est pas puritains nous ) mais on ne veut pas marcher comme Nike. On veut bien s’envoyer un coca avant d’aller à l’école ou après le boulot mais on ne veut pas être obligé de boire du coca our avoir le droit d’aller à l’école ou au boulot.

On est des millions-et certains millions plus que d’autres-à savoir qu’il n’y a pas de guerre hygiénique dans une porcherie. On est des millions à exiger le haut de la politique et pas les bas-fonds de l’économie. On est des millions à ne plus supporter le moralisme des punisseurs impunissables, des démocrates invérifiables et des contrôleurs incontrôlables. On est des millions à comprendre aujourd’hui que ce n’est pas la merde qui préoccupe l’empire, c’est de conserver le monopole de la pompe à merde et du nettoyage ( chanson : Pompe à merde, pompe à pétrole ; pompe à pétrole, pompe à merde ).

On est des millions à réclamer le final-cut sur nos films, nos vies, notre avenir. Nos épisodes sont à nous et l’histoire ne commence pas le 11 septembre, elle a déjà eu lieu, elle se continue, elle aura lieu. Il nous faudra encore Sophocle et Shakespeare mais plus Bush et Sharon.

Hey man ! Fais gaffe !

L’Histoire on est dedans !

Editions Sansonnet : 73 rue de Rivoli – 59800 Lille

Ce petit livret coûte 1 €, cependant j’ai l’impression qu’il est difficile à trouver.

J’ai partie liée – Texte de Julien Dupont pour et avec le Collectif éphémère in l’album Maïs chaud

J’ai partie liée avec le sexe enjôleur des anges
J’ai partie liée avec les croûtes de Michel Ange
J’ai partie liée avec le ventre fou des falaisesmaïs
J’ai partie liée avec la confiture à la fraise
J’ai partie liée avec les 26 lettres de l’alphabet
Avec ceux qu’on retourné la télé
J’ai partie liée avec les 12 demi-tons de la gamme
Avec ceux qu’ont mis le feu à leur âme
J’ai partie liée avec les accros de l’ivresse
Avec les édentés les flingués de la vitesse
J’ai partie liée avec les putes du boulevard Ney
Avec ceux qu’on refusé de mourir avant de crever
J’ai partie liée avec les joueurs de tambours
Avec ceux qui bandent sur l’amour
Avec ceux qu’on du coeur au ventre
Avec les rigolos, les allumés, les pas sérieux, les déjantés
J’ai partie liée avec le couscous et le mafé
Avec Apollinaire et Bob Marley
J’ai partie liée avec les nègres et les pédés
Avec le foutre chaud de l’instant
Avec la fantaisie du vent
J’ai partie liée avec les slameurs fous,
Les musiciens de jazz, les insomniaques
J’ai partie liée avec les singes
Les danseurs de tango
Les ramasseurs d’ordures
Les comédiens ratés, les doux rêveurs
les amoureux transis, les transistors taris
Les magnums de champagne et les belles gueules qui se crament
J’ai partie liée avec les maudits de la nuit
Les mots dits de la nuit, les enfantaisies
J’ai partie liée avec la forêt, avec les chiens
Avec l’herbe verte des chemins
J’ai partie liée avec les  » soleils de l’intérieur  »
Libérons nos soleils, libérons nos soleils
J’ai partie liée avec le bleu de la mer
J’ai partie liée avec les poissons de la mer
J’ai partie liée avec mes frères
J’ai partie liée avec mon père qui est comme un dieu pour moi
Qui suis stupide et sale
Et très égocentrique

 Cliquez pour écouter

versatile-bloggerThe Versatile Blogger Award

Je dois ce tag inédit pour moi à Cathy @tulisquoi du blog du même nom que je vous conseille fortement de consulter. C’est une vraie caverne d’Ali Baba pour amoureux des livres ( papiers ET numériques ).

Merci copine !

Versatile, j’avoue que je le suis un poil, car cet été j’ai fait une assez longue pause et il arrive que je ne publie rien pendant une ou deux semaines.

Donc, comme j’ai compris le jeu, il me reste à vous dévoiler 7 petites choses sur moi.

Je vais commencer par reprendre la dernière révélation de Tulisquoi parce que c’est rigolo.

1 / J’aime les plats épicés et / ou en sauce , la bière belge ( mais récemment j’en ai goûté une japonaise qui n’était pas dégueu ). Je n’aime pas le vin rouge MAIS je raffole du vin blanc, particulièrement le muscadet ( logique, j’habite dans le vignoble nantais ). Je n’aime PAS le chocolat , et ne cours pas du tout après les desserts. Je suis sel, voilà ce qui selon les légendes de grands-mères expliquerait le fait que j’ai eu trois garçons ( devenus grands…tralala ).

2 / J’ai arrêté les études après mon Bac ( série B …là, je suis certaine que les jeunes se demandent : «  C’est quoi ce bidule ? » tout simplement, un bac économique et social ) J’ai fabriqué mon premier enfant la même année, et il est né en 1984 ! Cela ne signifie pas que je n’ai jamais travaillé, j’ai fait de petits boulots de crotte ( faut bien vivre quand on élève seule ses fils ) mais j’ai eu la chance de bosser comme assistante documentaliste en collège ( ZEP ), une expérience très enrichissante humainement et professionnellement. J’ai aussi été secrétaire médicale pour trois médecins généralistes. Un métier que j’adorais, qui m’a beaucoup apportée et qu’il m’arrive de regretter. J’ai dû arrêter pour cause de dépression ( longue, très longue ) Aujourd’hui, je débute une nouvelle activité. Pas d’inquiétude, soyez ( encore un peu ) patients, je vous en parlerai plus en détail sous peu. Les plus impatients peuvent faire un tour sur ce forum dédié au numérique ( mon pseudo est facilement identifiable )

3 / J’ai deux particularités physiques, qui ne se décèlent pas facilement. Mon appendice est à gauche et j’ai deux luettes ( en terme médical luette bifide)…vous savez, le truc au fond de la gorge ! Il paraît qu’à ma naissance, j’ai fait sensation. I’ was born to become a star ! :-p

4 / Je suis myope comme une taupe, sans exagération aucune. Retirez moi mes lunettes, ou si je les casse, c’est simple je ne peux plus déambuler, même chez moi ( je me prendrai tous les murs car, j’ai aussi beaucoup de mal à estimer les distances ). Je ne vois pas plus loin que le bout de mon nez selon l’expression commune. Autant vous dire la tragédie si la vieillesse me prive de lecture ! Ceci dit, avec l’âge je deviens presbyte, ce qui compense un peu ( mais alourdit considérablement les frais d’optique).

5 / J’adore danser. Je suis une vraie dingo lorsque j’assiste à un concert. Nous les choisissons soigneusement et, nous savons que ça va swinguer, valser, secouer dans tous les sens. Je peux être increvable dans ces moments là ( surtout si il y a d’la bière ). Notre dernier concert c’était les Zoufris Maracas ( si vous connaissez pas, allez donc sur leur site : http://zoufrismaracas.com/ )

6 / J’ai peur de l’eau, bien que sachant nager ( seulement la brasse, et c’est déjà ça ). Jamais vous ne me verrez sauter dans une piscine. Merci à l’imbécile de maître-nageur qui, comme ça se faisait souvent à l’époque, n’a rien trouvé de mieux que de balancer les mômes à l’eau pour voir comme ils se dépatouillaient…Et puis j’ai toujours peur de perdre mes lunettes. Et puis je suis frileuse de toutes façons. Dire que je ne sais même pas faire la planche ! o-O

7 / Ah tiens, voilà la dernière petite révélation arrivée. Tadam…

Je suis ochlophobe ce qui signifie que j’ai peur de la foule en tant que masse. C’est gênant, je vous assure. Et, allez cadeau, je déteste faire les magasins ( sauf, les librairies of course ).

Voilà, les sept petites choses sur moi que vous ne connaissiez sans  doute pas. 

Le relai se déroule ainsi : 

Afficher fièrement le logo du Versatile Blogger Award en haut du post dédié.

  1. Remercier chaleureusement le blogueur ou la blogueuse qui vous aime et vous le fait savoir.
  2.  Lister sept petites choses vous concernant.
  3.  Nommer quinze blogueurs méritants.
  4. Prévenir les quinze Blogueurs que vous les aimez en laissant un petit message sur leur blog.

Je ne connais pas 15 blogueurs, enfin peut-être mais je pense que bon nombre ont déjà participé à ce Versatile Blogger Award alors je vais titiller certains pour les faire sortir de leur tanière.

Tout d’abord Lilian Peschet , auteur mais qui rédige aussi sur son blog de supers interviews d’auteurs et des chroniques littéraires, comment dire ? …pas banales.

Ensuite Chti_suisse un blogueur bien sympa que je ne vous présente plus.

Mais aussi De Ma Plume A Vos Oreilles parce qu’elle est sympa, curieuse et qu’elle parle aussi musique, ciné, expos…

Enfin, Le Château de Gaby 

A votre tour les amis et encore merci à Cathy / Tulisquoi

On m’a dit qu’il fallait se faire petit pour vivre, qu’il ne faut pas faire de remous, pas se faire remarquer…

On m’a dit de dire Bonjour à la Madame et d’être polie avec le notable

On m’a dit de mettre un bâillon sur ma colère, que cela ne se fait pas de toiser l’administration avec tant d’insolence

On m’a dit de ne pas regarder sur les côtés la misère et l’exclusion.

On m’a dit que tant que cela ne me touchait pas, je ne devais penser qu’à moi et ma famille.

On m’a dit qu’il faut que je prenne un emploi,  qu’il soit pour satisfaire à mes besoins élémentaires.

On m’a dit que je dois consommer et regretter de ne pas posséder les richesses d’autrui ….c’est pour çà qu’il faut que je travaille, pour leur ressembler dans l’accession. ! avoir un toit, le dernier modèle de chez Citroên et des vacances deux fois par an.

On m’a dit que je ne devrais pas rougir de ne pas pouvoir aider les pauvres, ils sont trop nombreux.

On m’a dit que je vieillirai bien si je m’angoisse pas pour le futur.Et pour tout çà il faut être docile …

Sangre

Sous le charme des oiseaux perchés dans les cîmes,

le vent sous la cape un instant crépite aux larmes,

fugace un éclair broie le ciel déchirant la toile de ses incisives couvertes de sang

Sangre.. la pierre qui écorche tes pas

Sangre… la peur qui te frappe sous la poitrine

Muette aux douleurs

quand la seule issue est d’avancer, encore et toujours ;

La vie te pousse, petite… la vie te pousse.

D’un coup d’un seul, trébuchante, chancelante

Sursaute au passage du nuage

L’ombre inquiétante s’empare de toi

Les doutes, la fatigue te cassent en deux

Silence et calme te hantent inlassablement

Invariablement

Les certitudes confusent les vérités

Tout le monde est là

A jouer de sa verve, de son apparente assurance

Ainsi est le monde alentours

Qui ne bâtit que sur du vent

Qui ne bâtit que la fin petit à petit comme on érige des dogmes et des idéaux en principe

Quand ne deviennent rêgles que les seuls objets des puissants et des chanceux

Sangre.. la pierre qui écorche tes pas

Sangre… la peur qui te frappe sous la poitrine

Divine Comédie

Parfois elle aurait lâché ses démons

Hésitante entre rires et larmes

Tourmentée

Scindée en deux

Le souffle entre deux rives,

Perdue dans les tréfonds de son impuissance.

Les roseaux dans le vent ploient

Les narcisses la contemplent

Les nénuphars la gobent toute entière

Le fond sous elle devient spongieux

Ses pieds englués

La clouent pour l’éternité

Fermée à tout, les yeux creux

Les lèvres épuisées

Il n’est pas d’heures qui ne soient tranquilles

L’immobilité, le ciel qui tombe à l’eau

Elle attrape entre ses doigts effilés

Une larme tiède

Les crapauds déployés endorment la chaleur

L’eau grimpe et sa tête disparaît

La magie d’un monde à rebours

Qui l’accueille comme au premier jour

Dans se ventre stérile

Aux desseins insondables

Le destin se rit 

Sortie de nulle part comme écervelée

Râleuse et libidineuse

Sorcière griffe au passage la frêle silhouette

Ricanant à part elle

« Oui tout va si, oui tout va bien »

Ravisseuse enchanteresse

La voix caressante mielleuse

Asservit le recul

Il est trop tard

Sa puanteur assaille

Sa saleté crache son venin

Sautent le pas, lèvent le pied

Le miroir se brise

Sorcière d’un sortilège

Ôte les entrâves

Le doute assaille

La peur vise le ventre

« Oui tout va si, oui tout va bien »

Continue-t-elle de susurrer

La moisissure prend des allures

De cheval galopant

La toile frémissante des envies

S’étire dans le no man’s land

Brumes en filigrane

Et suinte la peur

Sur l’échine tremblante

Et jaillissent les mottes de terre

Sous les sabots encroûtés

Et fusent la folie, l’ivresse et le désir

Rassasiée et repue 

« Divine est la comédie »

Il n’y a pas de collier mais des laisses en acier trempé

des laisses rétractiles

Amuse toi à tirer et tu verras

Dans ta chair le collier s’enfoncer, un tour de vis

Un tour d’écrou

Dans ta peau, dans ta chair

Ton cri mourra

Dans la clameur de la rumeur

Au loin, sous un soleil de plomb

Quand tomberons du ciel

Des accordéons de laisses-dorées

Aux encens si rares

Qu’ils font perdre la raison

Réfugié, compte toi !

Ton ombre devant toi tend les poings au bourreau

Pour une Web Association des Auteurs

Sur twitter et via Comme un rat fait son terrier j’ai  récemment pris connaissance de ce projet Pour une Web-association des auteurs initié par Laurent Margantin. ( cliquez pour aller sur son blog : oeuvres ouvertes ).

Le texte qui suit est extrait du site dédié, web-association des auteurs .Laurent Margantin m’a gentiment donné l’autorisation de le reproduire sur mon blog.

Marre de ce qui se fait depuis quelques temps déjà au nom de l’édition numérique qui commence à fortement ressembler à ce qui nous avait conduits à venir sur le web pour y échapper. Au début (autour de 2009), il y avait de l’invention, puis de plus en plus de vieux réflexes, d’anciennes coutumes ont ressurgi : normal, puisque le modèle c’était de plus en plus l’édition papier : structure fermée autour d’une équipe, comité éditorial auquel j’ai personnellement refusé de participer dès 2010. Je rêvais moi d’une autre façon d’éditer, pas centralisée autour d’un seul, et c’est tout le contraire qui advint, sauf que le livre numérique ne se vendant pas c’est vers encore une autre forme d’édition qu’on a voulu rebondir, web-édition ça s’appelle, allez-y voir si ça vous intéresse, surtout le modèle économique de la chose puisqu’on y revient toujours : comment faire chauffer la soupe, je ne savais pas que c’était au coeur de la question littéraire. Modèle totalement obscur où le blog est tout à coup payant et l’auteur rétribué suite à un savant calcul qu’il ne maîtrisera jamais, si vous vous comprenez écrivez-moi. Obsession du territoire, voilà le problème récurrent. L’éditeur numérique comme papier conquiert des territoires en publiant ses auteurs, il doit non seulement défendre jour après jour son bastion mais aussi étendre son empire, alors si ça marche pas avec le livre numérique allons-y gaiement pour la web-édition où l’auteur plutôt que de s’émanciper en créant et développant son propre blog confie un texte à son « éditeur » qui publie du texte-web au kilomètre dans sa grande marmite pour faire grandir un blog central au milieu de la galaxie-web, applaudissement du public, bravo le magicien, c’est la moquerie de Céline à propos de la littérature-variétés : Une autre ! Une autre ! (chanson). L’édition papier avait inventé le livre au kilo, la web-édition nous vend du texte au kilomètre, c’est chouette, on peut surfer dessus. Obsession du territoire, de la possession. Je fais ma tambouille sur le web et puis aussi chez mon éditeur tradi, why not. Mais chacun son job : l’auteur, son boulot c’est d’être libre, pas de voir son texte englouti dans un gouffre où il disparaîtra avec des centaines d’autres, et peu importe qu’on lui dise qu’il ait été lu 1000 fois parce que c’est vite oublié, oui un texte sur le web comme sur papier ça s’oublie vite s’il est édité dans le mauvais environnement. L’auteur, son boulot sur le web c’est de mettre en valeur le caractère unique de son texte (si c’est vraiment le cas bien sûr), et le mieux c’est sur son propre blog, pas sur celui d’un conquérant qui ramasse tout peu importe d’où ça vienne, le tout c’est que ce soit un bout de terre en plus sur le web, qu’il garde son statut de conquérant, de Gengis Khan de l’Internet littéraire, auteurs, affirmez votre liberté en n’allant pas jeter vos textes n’importe où même si ça se prétend revue contemporaine ou je ne sais quoi, mettez vous-mêmes vos textes en ligne et développez votre propre blog et votre propre réseau en ligne, si vos textes valent quelque chose ils seront plus lus et remarqués comme ça que célébrés une seule journée par je ne sais quel empereur. Auteurs, méfiez-vous des territoires impériaux quels qu’ils soient, le web littéraire offre encore pas mal d’espaces de liberté, profitez-en, renforcez-les.
A la place de la web-édition organisée complètement comme l’édition traditionnelle avec ses comités de rédaction, son patron et son obsession économique je propose autre chose, qui n’est pas entièrement nouveau sur le web mais en perte de vitesse : ce que j’appelle l’association des auteurs. C’est-à-dire le contraire de la logique impériale et territoriale, du désir de maîtrise et d’organisation d’un espace circonscrit par un petit groupe (disons une coterie). Une désorganisation volontaire du web littéraire. Une radicalité créatrice qui ne peut être réelle que si des mouvements existent dans tous les sens sans aucun organe central, que si l’écriture se dissémine hors de tout cadre étroit. Pour cela, je propose des déploiements de textes : que chaque auteur actif sur un blog personnel ou collectif reprenne régulièrement le texte d’un autre auteur sur un blog (avec son accord bien entendu). Qu’un réseau de blogs se crée entre lesquels auront lieu régulièrement (et pas seulement une fois par mois comme avec les vases communicants) des reprises de textes appréciés, avec une présentation ou pas. On peut imaginer d’autres interactions régulières, à chacun de voir. Ma proposition est la suivante :
le blog qui veut participer à cette web-association des auteurs écrit à 
Oeuvres ouvertes et je l’intègre à une page où seront notés au fur et mesure tous les échanges, toutes les reprises.
Cette page est une invitation à découvrir les textes repris dans un contexte nouveau (et donc lus par des lecteurs nouveaux) et à les reprendre, à les relancer sur son propre blog. Ainsi les textes existent dans une libre association des blogs littéraires qui font partie du réseau.
Il est essentiel que nous sortions enfin du modèle d’édition numérique actuel calqué sur celui du papier, avec filtrages par un comité de lecture central, groupe fermé et finalement sélection à partir de quelques critères qui sont ceux de deux ou trois personnes (voir d’une seule le plus souvent). Le blog littéraire n’est pas un territoire ni un patrimoine à gérer (j’étais épouvanté quand j’ai lu dernièrement qu’un blogueur écrivait à la ministre de la culture pour faire reconnaître son blog comme un patrimoine culturel !). Il faut aussi sortir 0de cette culture du blog d’auteur style louisdupont.net qui est enfermement de l’auteur sur son propre territoire qu’il cherche à faire annexer par un web-éditeur. 00Sortons de la logique territoriale, inventons des mouvements dans tous les sens, et que chaque blog personnel soit accueil de l’autre écriture, inconnue.
Désorganisons le web littéraire, disséminons les écritures.
Qui souhaite participer ?

Laurent Margantin, Saint Denis de la Réunion, 31 mai 2013

miami-heat

 

C’est pratique une Pile A Lire en ebooks, plus de problème de place.

Alors la voici en partie ( j’ai la flemme de tout recenser et c’est le chantier dans certains dossiers ).

Il y en a pour tous les goûts, les humeurs, les envies. Je fais l’impasse sur les PDF et Docs.

1 / 60 contes express pour lire dans les transports d’Aloysus Chabossot

2 / Persuasion de Jane Austen

3 / Catherine de Jane Austen

4 / Emma de Jane Austen

5 / Mansfield park de Jane Austen

6 / Raison et sensibilité de Jane Austen

7 / Phasmes de Stéphanie Benson

8 / Al teatro de Stéphanie Beson : 4 épisodes

9 / Les Costello de Laurent Bettoni : épisode 1 et 2

10 / Ladainian Abernaker Lydie Blaizot

11 / Le vaisseau elfique de Blaylock

12 / Le pacte ( les guerriers du silence ) de Pierre Bordage

13 / Le chène vénérable : Tome 1 de Bordage

14 / Cantique de la paranoïa de Daniel Bourrion

15 / Bang ! Bang ! Bang ! de Chapuis

16 / Oeuvre complètes de Gaston Coute ( œuvres 1 & 2 )

17 / Contes myalgiques ( Raven party ) de Nathalie Dau

18 / Les nuits difficiles de Dino Buzzati

19 / Contes de la terreur de Doyle

20 / Quadruple assassinat dans la rue Morgue de Cécile Duquenne

21 / Kid Jésus de Pelot

22 / Des visages Recueil de nouvelles, collectif

23 / Entre chien et loup Recueil de nouvelles, collectif

24 / Whisky Vaudou ( Amarachi : Privé, T 1 ) de Tom Khefif

25 / Douze fleurs de pissenlit ( épisode 1 ) Anne Rossi

26 / Le cri de la moule le soir au fond du bar de Charly Green

27 / 50 micro nouvelles ( collectif )

28 / L’amour des étoiles de Pierre Stolze

29 / Plongée sur R’lyeh de Loïc Richard

30 / Le bonheur est dans le pré d’Emmanuelle Cart-Tanneur

31 / Viens-tu te coucher de Pierre Cinq-Mars

32 / L’homme est un mâle comme les autres de Pierre Cinq-Mars

33 / L’épouvante de Maurice Level

34 / Les héros, ça s’trompe jamais de Marie Potvin ( intégrale saison 1 )

35 / La boîte de Schrödinger, Expérience 2 d’Anthony Boulanger

36 / Le plongeoir de Gilles Maugenest

37 / Le monde de Zohra d’Imane K

38 / Les rivages de la nuit ( les guerriers de la nuit : tome 2 ) de Graham Masterton

39 / Anno Dracula de Kim Newman

40 / L’entretemps tome 1 de Charlotte Charpot

41 / La boîte de Schrödinger Spéciale Hallowen par la Team Hallowen Studio Walrus

42 / Les Guerriers de la nuit tome 1 de Graham Masterton

43 / Passeurs d’ombre, L’appel de l’ombre épisode 1 de Anne Rossi

44 / Crescendo, Recueil de nouvelles

45 / Dieu à 12 h Tome 1 de Raphaël Rosenbaum

46 / Le syndrome de Dardène de Elias Jabre

47 / Pacifico de Comte Kerkadek

48 / 20 ans / De l’autre côté d’Edgar Kosma

49 / Vivants d’Isaac Marion

50 / Hamburger games, une parodie par The Harvard Lampoon

51 / Miami Heat de Palmer McGrady

52 / Pan-American Rally de Spike Bonham Carter

53 / Fin de route ( tome 1 ) de Jean-Louis Michel

54 / Arrêt de mort ( Le pacte des immortels, tome 2 ) d’Eric Nylund

55 / Wendigo de Graham Masterton

56 / Bruxelles midi Recueil de nouvelles

57 / Magic Cottage de James Herbert

58 / Zombie business de Jesse Petersen

59 / Zombie therapie de Jesse Petersen

60 / Un beau jour de Clémentine Autain

61 / Le portrait du mal de Graham Masterton

62 / Emile Delcroix et l’ombre sur Paris de Jacques Fuentealba

63 / Le pacte des immortels ( tome 1 ) d’Eric Nylund

64 / Plaidoyer pour les justes de Aïssa Lacheb-Boukachache

65 / Génération enragée de Jiminy Panoz

66 / La chair d’Achala de Charlie Bossu

67 / La conspiration des fantômes de James Herbert

68 / Démons 2 de Royce Buckingham

69 / Entre chien et louve de Gudule

70 / Gargouille de Gudule

71 / Zombie nation ( zombie story tome 2 ) de David Wellington

72 / Zombie island ( zombie story tome 1 ) de David Wellington

73 / Zombie planet ( zombie story tome 3 ) de David Wellington

74 / Démon de Royce Buckingham

75 / Les lames du Cardinal ( tome 1 ) de Pierre Pevel

76 / L’alchimiste des ombres ( les lames du Cardinal tome 2 ) de Pierre Pevel

77 / Le Dragon des Arcanes ( les lames du Cardinal, tome 3 ) de Pierre Pevel

78 / La piste du crime de Wilkie Collins

79 / Le monstre sur le seuil d’H.P Lovecraft

80 / L’indicible de H.P Lovecraft

81 / Celui qui hantait les ténèbres de H.P Lovecraft

82 / La maison de la sorcière de H.P Lovecraft

83 / Le cauchemar d’Innsmouth de H.P Lovecraft

84 / L’enterrement des rats et autres nouvelles de Braham Stoker

85 / L’abîme de Charles Dickens et Wilkie Collins

86 / Trois coups contre ma porte de Michael Roch

87 / Anastasis de Aude Cenga

88 / Jardin secret de Aude Cenga

89 / La clé de l’eau de Agnès Evans

90 / Carpe Sesamum de Esteban Bogasi

91 / L’homme en proie aux enfants de Albert Thierry

92 / Rainbow warrior ( épisode 1 ) de Ayerdhal

93 / Les dimanches de Jean Dézert de Jean de la Ville de Mirmont

94 / Angle mort, numéro spécial janvier 2013

95 / Mais c’est à toi que je pense de Gary Braunbek

96 / Les enfants du rasoir de Joe.R Lansdale

97 / Cette crédille qui nous ronge de Roland C Wagner

98 / Les serpents de l’angoisse de Roland C Wagner

99 / L’ère du vent de Pierre Bameul

100 / Hirondelle ou martinet de Serge Cazenave – Sarkis

101 / Carnet de voyage d’un mort débutant d’Isabelle Bouvier

102 / La journée d’un journaliste américain en 2889 de Jules Verne ( Châpal et Panoz )

103 / Le marchand de mort de Cécile Chabot

104 / Vert de gris de G.A.Tremblay

105 / Attends-moi, j’arrive de G.A Tremblay

106 / Premier souffle de Thomas C Durand

107 / Psychohistory de Thibauld Delavaud

108 / Nouvelles de l’avenir de Jospeh Mery

109 / Les aventures de Zordar ( 1er tome ) de Philippe Goaz

110 /Suicide par imprudence de Yves Rémy et Ada Rémy

111 / Le talisman mystérieux d’Edgar Wallace

112 / La vallée des spectres d’Edgar Wallace

113 / L’homme du Carlton d’Edgar Wallace

114 / Jack le justicier d’Edgar Wallace

115 / Une lueur dans l’ombre d’Edgar Wallace

116 / La vie meurtrière de F élix Vallotton

117 / L’art de la guerre de Sun Tzu

118 / Le roseau pensotant de Roorda

119 / Quand le vers est dans la pomme de Aude Cenga

120 / La revanche du corbeau de Louis Pergaud

121 / Ailein Duinn de Claire Billaud

122 / Chanoyu l’art de la cérémonie du thé japonais de Claire Billaud

123 / Harmonie de Claire Billaud

124 / Le mat et l’impératrice de Claire Billaud

125 / Le nokk de Claire Billaud

126 / Le paradoxe de l’écrivain de Claire Billaud

127 / Le prince serpent de Claire Billaud

128 / Nuit de hasard de Claire Billaud

129 / Poupée psychotique de Claire Billaud

130 / Une parfaite imitation de Claire Billaud

131 / Une terible beauté est née de Calire Billaud

132 / Real life de Clément Hourseau

133 / Catherine Morland de Jane Austen

134 / Robes noires d’Henri Bachelin

135 / Je dis non de Wilkie Collins

136 / La dame en blanc de Wilkie Collins

137 / Pierre de Lune de Wilkie Collins

138 / Le secret de Wilkie Collins

139 / Le magicien : l’apprenti de Raymond Feist

140 / Le magicien : le mage de Raymond Feist

141 / Le magicien : silverthorn de Raymond Feist

142 / Marguerite par Mme Emile de Girardin

143 / Contes choisis de la famille par les frères Grimm

144 / Contes merveilleux : tome 1 & 2 des frères Grimm

145 / Agnès Grey d’Anne Brontë

146 / La moisson rouge de Dashiell Hammet

147 / Le faucon de Malte de Dashiell Hammet

148 / Heliot Potin malfrat d’Ismael Naluv

149 / Fog de James Herbert

150 / Sanctuaire de James Herbert

151 / Survivant de James Herbert

152 / Instinct malsain d’Ismael Naluv

153 / Maîtres de maison de Jack Vance

154 / In the court of the Lizard King de Jacques Barberi

155 / Les cons par Julien Boyer

156 / Les archanges de Julien Boyer

157 / Le code source de la réalité de Julien Boyer

158 / Jésus_2.0 de Julien Boyer

159 / Atl et le nécromancien de Julien Boyer

160 / L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono

161 / Le monde des trolls de Selma Lagerlöf

162 / Le charrretier de la mort de Selma Lagerlöf

163 / Lawrence d’Arabie-A contre corps de Franck-Olivier Laferrère

164 / Le fauteuil hanté de Gaston Leroux

165 / Le grand plongeon : Je m’appelle Charon de Julien Morgan

166 / Le grand plongeon : Les règles du jeu de Julien Morgan

167 / Le grand plongeon : Doce palomas de Julien Morgan

168 / Le grand plongeon : épisode 4 de Julien Morgan

169 / L’homme qui tue les femmes de Camille Lemonnier

170 / Le roque de Sozuka Sun

171 / Chéri Bibi et Cécily de Gaston Leroux

172 / Fatalitas de Gaston Leroux

173 / Les cages flottantes de Gaston Leroux

174 / Palas et Chéri Bibi de Gaston Leroux

175 /Chéri Bibi de Gaston Leroux

176 / Les guerriers au repos de Sylvain Kornowski

177 / L’homme qui rit de Victor Hugo

178 / Interférences de Loïc Richard

179 / Jeu de dupes de Loïc Richard

180 / Le dernier vol du Perséphone de Loïc Richard

181 / Les trois portes de Loïc Richard

182 / Mais si malheur arrive de Loïc Richard

183 / Rouge folie désespérée de Loïc Richard

184 / Seul Aaron le sait de Loïc Richard

185 / Vert règne végétal de Loïc Richard

186 / Garden party de Katherine Mansfield

187 / Tout sur les elfes par Melian de Doriath

188 / Merry Christmas from Mars , recueil créé par Chapal et Panoz

189 / Mots et légendes : Catacombes

190 / Mots et légendes : Femme

191 / Deus ex machina par Nhetic DigitalWanderer

192 / Par delà l’océan de Nicolas B Wulf

193 / An Anaon de Nicolas B Wulf

194 / Anima de Nicolas B Wulf

195 / La traque de Nicolas B Wulf

196 / Smatarted de Pouhiou

197 / Le joyau des 7 étoiles de Stoker

198 / Les grandes espérances de Charles Dickens

199 / Tess d’Urberville de Thomas Hardy

200 / Revue Squeeze numéro 6 : hiver 2012/2013

201 / Le nez d’un notaire d’Edmond About

202 / Légende lunaire de Christian Epalle

203 / Juu-San de Yoni Charles Minso

204 / Renart le goupil d’Hervé Loth

205 / L’ombre blanche de Paul Durand Degranges

206 / Démences de Graham Masterton

leparkCertaines personnes semblent être intéressées par mes lectures prochaines. Je n’ai pas eu le temps de créer la liste de lectures en numérique ( je la ferai rapidement), donc je vous propose une visite des livres papier en attente.

Certains livres m’ont été offerts, ou récupérés à droite à gauche dans la famille par exemple, ou bien sûr achetés.

 

  1. Plop de Rafael Pinedo
  2. Le park de Bruce Bégout
  3. L’homme qui valait 35 milliards de Nicolas Ancion
  4. Derrière le mur de briques de Tibor Déry
  5. La petite fille de Mr Linh de Philippe Claudel
  6. Les âmes grises de Philippe Claudel
  7. Le cortège de la mort d’Elizabeth George
  8. Les 9 dragons de Michael Connelly
  9. Ce que savait le chat de Martha Grimes
  10. Contre toute attente de Linwood Barclay
  11. Le cantique des innocents de Donna Leon
  12. Volte-face de Michael Connelly
  13. A découvert de Harlan Coben
  14. Le syndrôme picard de Daniel Auna
  15. La femme au masque de chair de Donna Leon
  16. Les courants fourbes du lac Taï de Qiu Xiaolong
  17. La petite fille de ses rêves de Donna Leon
  18. Lisson Grove de Anne Perry
  19. Les sirènes de Bagdad de Yasmina Khadra
  20. La glace noire de Michael Connelly
  21. La blonde en béton de Michael Connelly
  22. L’irlandais de Brighton de Johann Moulin
  23. Moravagine de Blaise Cendrars
  24. Old fashioned de Marie-Line Musset
  25. Loin, très loin de tout d’Ursula Le Guin
  26. La grosse femme d’à côté est enceinte de Michel Tremblay
  27. Le choeur des femmes de Martin Winckler
  28. Mexico noire ( recueil de nouvelles sous la dir. De Paco Ignacio Taibo II )
  29. Mon cher fils de Leïla Sebbar
  30. L’appel de l’huïtre de Pascal Dessaint
  31. Le soleil des mourants de Jean-Claude Izzo
  32. La joue du roi suivi de Vomitif ( théâtre ) d’Abdel Hafed Benotman
  33. Coco d’Abdel Hafed Benotman, illustrations de Laurence Biberfeld
  34. Le boucher de Guelma de Francis Zamponi
  35. Doux comme la mort de Laurent Guillaume
  36. Twittus Politicus d’Antoine Dubuquoy et Nico Prat
  37. La pianiste d’Elfriede Jelinek
  38. Je brûle Paris de Bruno Jasienski
  39. Interception de Marin Ledun
  40. Mortels péchés d’Elizabeth George
  41. L’analyste de John Katzenbach
  42. 22 v’là des frites de Maj Sjöwall et Per Wahlöö
  43. L’assassin de l’agent de police de Maj Sjöwall et Per Wahlöö
  44. C’est en hiver que les jours rallongent de Joseph Bialot
  45. Le vengeur des catacombres de PJ Lambert
  46. Tarot de William Bayer
  47. Le cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers
  48. Les papiers de Jeffrey Aspern d’Henry James
  49. La salle des meurtres de P.D James
  50. Noir comme neige de Peter Robinson
  51. Thérapie de Sebastian Fitzek
  52. Les magiciens de Lev Grossman
  53. Le vendeur de sang de Yu Hua
  54. Vénus privée de Georgio Scerbanenco
  55. Ashworth Hall d’ Anne Perry
  56. La politique du tumulte de François Médéline
  57. Les mois d’avril sont meurtriers de Robin Cook
  58. La clé de l’abîme de José Carlos Somoza
  59. La caverne des idées de José Carlos Somoza
  60. La théorie des cordes de José Carlos Somoza
  61. Le rêve des chevaux brisés de William Bayer
  62. Chroniques du menteur de Boris Vian
  63. L’échappée de Jim Thompson
  64. Tous les diamants du ciel de Claro
  65. Mexicali city blues de Gabriel Trujillo Munoz
  66. Tea-Bag d’ Henning Mankell
  67. La danseuse de Mao de Qiu Xiaolong
  68. Chiens sales de François Barcelo
  69. La route de Los Angeles de John Fante
  70. Double Je de Sylvie Granotier
  71. La forme de l’eau d’Andréa Camilleri
  72. Nice 42 ème rue de Patrick Raynal
  73. Le cadavre anglais de Jean-François Parot
  74. Quelqu’un avec qui courir de David Grossman
  75. Mako de Laurent Guillaume
  76. Petite éloge des séries télé de Martin Winckler
  77. Lady Susan de Jane Austen
  78. Mal tiempo de David Fauquemberg
  79. Le bal des débris de Thierry Jonquet
  80. Parasites de Ryû Murakami
  81. Jours tranquilles à Belleville de Thierry Jonquet
  82. Et si je vous racontais de Marie Chevalier
  83. Bellefleur de Joyce Carol Oates
  84. Les profanateurs de Michael Collins
  85. Autobiographie de Miss Jane Pittman d’ Ernest J Gaines
  86. Même les cow-girls ont du vague à l’âme de Tom Robbins
  87. Bal de givre à New-York de Fabrice Colin
  88. L’enfant secoué de Patrick Froehlich
  89. Réseau d’état d’Hugues Leforestier
  90. Le courage de la non-violence de Jean-Pierre Barou
  91. Salut et liberté de Fred Vargas
  92. Touche pas à mes deux seins Le Poulpe Martin Winckler
  93. 1/4 d’heure pas plus de Francis Mizio
  94. Vivre fatigue de Jean-Claude Izzo
  95. Vous ne me connaissez pas de Joyce Carol Oates
  96. Le cercle de sang de Jérôme Delafosse
  97. Inavouable de Sandra Brown
  98. Le testament de Maître Mussard de Patrick Süskind
  99. Marie-Madeleine de Kathleen McGowan
  100. Crever pour vivre de Klaus Kinski
  101. Les carnets de l’aspirant Laby, médecin dans les tranchées
  102. L’instinct de mort de Jacques Mesrine
  103. Viscéral de Rachid Djaïdani
  104. Retenir les bêtes de Magnus Mills
  105. Le menteur d’ Henry James
  106. Colette, la vagabonde assise d’Hortense Dufour
  107. La petite amie imaginaire de John Irving
  108. L’histoire de Chicago May de Nuala O’Faolain
  109. Le syndicalisme et ses armes
  110. La stratégie du fou de Lalie Walker
  111. Un certain sourire de Françoise Sagan
  112. Viou de Henri Troyat
  113. L’ombre du chat de Paul Borrelli
  114. Les porcs de l’angoisse de Bernard Pouchèle
  115. La vie de Louis Fronsac d’ Aurore La Forêt
  116. Des cadavres dans les placards de Philippe Ayraud
  117. Les légions dangereuses de Fabien Clavel
  118. L’affaire Jane Eyre de Jasper Fforde
  119. Délivrez-moi de Jasper Fforde
  120. Le puits des histoires perdues de Jasper Fforde
  121. 77 de Guillermo Saccamanno 
  122. L’homme de sang de John Steelwood
  123. Je tue les enfants français dans les jardins de Marie Neuser 
  124. Côté cours de Léandro Avalos Blacha 
  125. Dieu bénisse l’Amérique de Mark SA Franco 
  126. Les gardiens de la vérité de Michael Collins
  127. Mourir n’est peut-être pas la pire des choses de Pascal Dessaint
  128. La vie n’est pas une punition de Pascal Dessaint
  129. Cruelles natures de Pascal Dessaint
  130. Trilogie de la Conurb : Neuromancien, Comte Zéro, Mona Lisa s’éclate de William Gibson
  131. Monnayé de Terry Pratchett
  132. Timbré de Terry Pratchett
  133. Le régiment monstrueux de Terry Pratchett
  134. Procrastination de Terry Pratchett
  135. Jeu de nains de Terry Pratchett
  136. autoGRObiaphie de Pierre Dupuis
  137. Moi, Représente Tous, Et parle au nom de Ceux de Stéphane Jouanny 
  138. Bye Bye Blondie de Virginie Despentes
  139. Une parfaite journée parfaite de Martin Page
  140. Fight club de Chuck Palahniuk
  141. Sauvagerie de J.G. Ballard
  142. Placards de Christian Roux
  143. Sous le règne de Bone de Russel Banks
  144. Du côté de Castle Rock d’Alice Munro
  145. L’oeil à la clef d’ Abdel Hafed Benotman
  146. Rock’n roll et chocolat blanc de Jakie Berroyer
  147. La merditude des choses de Dimitri Verhulst
  148. Roublard de Terry Pratchett
  149. Le chardonneret de Dona Tartt
  150. Sous silence de Catherine Enjolet
  151. Richard Yates de Tao Lin
  152. Fiction, Printemps 2014
  153. Les souffrances du jeune ver de terre de Claro
  154. Au secours ! Un ours est en train de me manger de Mykle Hansen
  155. La dépression de Foster de John Ferguson
  156. Bifrost numéro 72 , Ray Bradbury
  157. Les ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ? de Karim Berrouka
  158. Le baron noir ( L’ombre du maître espion ) de Olivier Gechter
  159. Flammagories, ouvrage collectif
  160. La vieille anglaise et le continent de Jeanne A-Debats
  161. Un endroit discret de Seichö Matsumoto
  162. Et que le vaste monde poursuive sa course folle de Colum McCann
  163. Cornes de Joe Hill
  164. Rouge-gorge de Jo Nesbo
  165. L’homme chauve-souris de Jo Nesbo 
  166. La main droite du diable de Ken Bruen 
  167. Les terroristes de P. Wahlöö et M. Sjöwall
  168. Sans parler du chien de Connie Willis
  169. Toute passion abolie de Vita Sackville-West
  170. Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee
  171. Les anges de la nuit de John Connolly
  172. Le mystère d’Edwin Drood de Charles Dickens
  173. La pluie, avant qu’elle ne tombe de Jonathan Coe
  174. Les châtiments de Victor Hugo
  175. Du temps de cerveau disponible de M.Causse et E.Urien
  176. Loin d’eux de Laurent Mauvignier
  177. Ce que j’appelle l’oubli de Laurent Mauvignier
  178. Douce paranoïa de Christophe Albrieux
  179. Le foetus récalcitrant de Josse 
  180. Contes à faire rougir les petits chaperons de Jean-Pierre Enard
  181. L’homme hanté de Charles Dickens 
  182. L’insolence du rouge de Catherine Malard
  183. Ernestine écrit partout ( vol.3) Ernestine Chasseboeuf
  184. American gothic de Xavier Mauméjean
  185. Pucelles à vendre – Londres 1885  de William Thomas Stead
  186. Au début de François Bégaudeau
  187. La barbe d’Olympe de Gouges d’Eli Flory
  188. Vous êtes fatiguée de Sylvie Blanchet
  189. Le guide Steampunk d’Etienne Barillier et Arthur Morgan
  190. Fées, weed et guillotines de Karim Berrouka
  191. La fille du chaos de Masahiko Shimada
  192. L’étranger des Carpathes de Karl Von Wachmann
  193. De l’égarement à travers les livres d’ Eric Poindron
  194. Il neige sur Encelade de Olivier Moyano
  195. Géniteurs et fils d’Anthony Boulanger
  196. La question de Henri Alleg
  197. Chants du soir de Allain Leprest
  198. Les remèdes du docteur Irabu de Hideo Okuda
  199. Boy de Takeshi Kitano
  200. Hell de Yasutaka Tsutsui
  201. Seins et oeufs de Mieko Kawakami
  202. Harry Dickson, La rivière sans visage. Le carnoplaste n°181
  203. Le mousquetaire de Mars d’Eric Nieudan. Le carnoplaste avril 2014
  204. La revue 813 : Nos 100 polars préférés. N°108
  205. La Revue 813 : Dossier Jim Thompson. N° 115
  206. Hôpital psychiatrique de Raymond Castells
  207. Poste mortem de Jean-Jacques Reboux.
  208. Sansalina de Nicolas Jaillet
  209. Colère du présent de Jean-Bernard Pouy
  210. Larchmütz 5632 de Jean-Bernard Pouy
  211. A toutes fins utiles de Jean-François Pasques
  212. Utopia de Ahmed Khaled Towfik
  213. Black coffee de Sophie Loubière
  214. Amin’s blues de Max Obione
  215. Bestiario de Jacques Fuentealba
  216. 37° centigrades de Lino Aldani
  217. Interférences de YOSS
  218. Terminus Belz d’ Emmanuel Grand
  219. Un truc très beau qui contient tout de Neal Cassady
  220. Je suis ton ombre de Morgane Caussarieu
  221. Joe de Larry Brown
  222. Football factory de John King
  223. Une vie inachevée de Mark Spragg
  224. Fiction N°19 – été 2014
  225. Les cafards de Jo Nesbo
  226. Du crépuscule à l’aube de William Irish
  227. R&B-Le gros coup de Ken Bruen
  228. L’espoir, cette tragédie de Shalom Auslander
  229. C’est ici que l’on se quitte de Jonathan Tropper
  230. Sauvez Hamlet de Jasper Fforde
  231. La saga Vorkosigan, intégrale 1 de Loïs McMaster Bujold
  232. La saga Vorkosigan, intégrale 2 de Loïs McMaster Bujold
  233. Le Waldgänger de Jeff Balek
  234. Panorama city d’Antoine Wilson ( Masse critique Babelio )
  235. Les villes trop petites de Christophe Paviot
  236. L’homme qu’il vous faut et autres nouvelles ( danse macabre 3 : librio ) de Stephen King
  237. Frog de Jérôme Charin
  238. Elseneur de Jérôme Charin
  239. Le livre des illusions de Paul Auster
  240. Vive la sociale de Gérard Mordillat
  241. Dans la ville des veuves intrépides de James Canon
  242. Michael Tolliver est vivant d’Armistead Maupin
  243. Mère disparue de Joyce Carol Oates
  244. Dôme de Stephen King
  245. Les aventures fantastiques d’Hercule Barfuss de Carl Johan Vallgren
  246. Ganesha de Xavier Mauméjean
  247. Planète à louer de YOSS
  248. Delirium tremens de Ken Bruen
  249. C’est de l’eau David Foster Wallace
  250. Miss Alabama et ses petits secrets -Fannie Flagg
  251. Dans les archives inédites des services secrets – Sous la dir. de Bruno Fuligni
  252. Bandini de John Fante
  253. Le chant du coyote de Colum McCann
  254. La bonté : mode d’emploi – Nick Hornby
  255. Survivant  de Chuck Palahniuk
  256. Auprès de moi toujours de Kazuo Ishiguro
  257. Damnés de Chuk Palhaniuk
  258. Thésaurus Chroniques du Plateau Mont Royal de Michel Tremblay   En cours de lecture
  259. Small world de Martin Suter
  260. Délicieuses pourritures de Joyce Carol Oates
  261. 1000 femmes blanches de Jim Fergus
  262. Un mensonge sur mon père de John Burnside
  263. Service funèbre de Colin Dexter
  264. Massoud l’afghan de Christophe de Ponfilly
  265. Journal du voleur de Jean Genet
  266. Pour sauver la planète, sortez du capitalisme de Hervé Kempf
  267. Ici ça va de Thomas Vinau 
  268. Super-Cannes de J.G Ballard
  269. Pantaleon et les visiteuses de Mario Vargas Llosa
  270. Les femmes de Stepford d’Ira Levin
  271. Withe Trash de John King
  272. L’amour sans le faire de Serge Joncour 
  273. Servir le peuple de Yan Lianke
  274. Pollen de Jeff Noon
  275. Mort d’un parfait bilingue de Thomas Gunzig
  276. Kuru – Thomas Gunzig
  277. 44 minutes, 44 secondes de Michel Tremblay
  278. Une touche d’amour de Jonathan Coe
  279. Quelle famille ! de Ton Sharpe
  280. The Rook de Daniel O’Malley
  281. Le grand hôtel Babylon d’Arnold Bennett 
  282. La tyrannie de l’arc en ciel de Jasper Fforde
  283. Les petites fées de New-York de Martin Millar
  284. Le Che – Paco Ignacio Taibo
  285. Tom Waits une biographie – Barney Hoskyns
  286. Eloge de rien
  287. Rêves de Bunker Hill de John Fante
  288. Au café de Mohammed Dib
  289. Sitting Bull de Farid Ameur
  290. Faëries stories de Johan Heliot
  291. Mort à Jericho de Colin Dexter 
  292. Duma Key – Stephen King
  293. La bâtarde d’Istambul d’Eli Shafak
  294. Les silences du professeur de Colin Dexter
  295. Le caïd et autres nouvelles – Faulkner
  296. Mort aux cons d’Aderhold Carl
  297. Le dernier bus pour Woodstock de Colin Dexter
  298. Déchirés de Peter Stenson
  299. Le dossier Lazare de Stéphanie Benson
  300. Merrick d’Anne Rice
  301. Choke de Palahniuk
  302. Le Roi en jaune de William Chambers

DRM-eBook-sans1Réponse au billet de Cédric C’EST FINI

Publié par cedricmetal le avril 26, 2013

RAS LE BOL DE TRAQUER LE MOINDRE MOMENT POUR LIRE
QUELQUES PAGES
RAS LE BOL D’AVOIR DE MOINS EN MOINS DE LUCIDITE
POUR COMPRENDRE CE QUE JE LIS
RAS LE BOL DU FOUTAGE DE GUEULE ET NON REPONSE
DE CERTAINS REPRESENTANTS D’ACTEURS DU LIVRE NUMERIQUE
(MERCI DE ME BALADER ET DE VOUS FOUTRE DE MOI!)
RAS LE BOL DES DRM
RAS LE BOL DES TRUCS TECHNIQUES A GERER SANS CESSE
SANS TOUT COMPRENDRE
RAS LE BOL DE TOUTES CES PRISES DE TETES

MERCI A CERTAINES PERSONNES AVEC QUI LE DIALOGUE
FUT INTERESSANT.
MERCI AUX AUTEURS ET EDITEURS!

J’EN AI PLUS QUE MARRE ALORS CE BLOG ET MON TWITTER
NE SERONT PLUS CE QU’ILS ONT ETE.

IL ME RESTE HEELLO.COM POUR COUPS DE COEUR ET
COUPS DE GUEULES SUR DES THEMES SANS RAPPORT AVEC
LA LECTURE NUMERIQUE

http://fnacbookeur.wordpress.com/2013/04/26/cest-fini/

 

J’ai envie de répondre à Cédric que tout cela n’est pas nouveau . Les éditeurs ou tout au moins la plupart ne te ré ponde que si tu  » consommes »  chez eux idem pour certains auteurs. Dans ces cas, j’ai vite fait de les éloigner.

Des sangsues sur twitter mais il y en a toutes les semaines et des éditeurs qui profitent des auteurs que tu leur présentes aussi ….pas plus tard que très peu de temps ça m’est arrivé mais l’auteur et l’éditeur comment dire ça autrement qu’en disant que ce sont des rats , des profiteurs de merde , des chiens ? Non voilà ils sont exactement ça et je n’y reviendrai pas. Je ne donne pas de nom ce serait un appel mais moi j’ai pas peur et je les emmerde royalement ces profiteurs de merde, ces vendus au capital . Je suis comme toi les DRM c’est de la merde il n’est absolument pas question que j’achète des ebooks avec DRMs et de la même façon je n’achète jamais sur amazon, j’achète un roman c’est pas pour me faire chier ou me prendre la tête pour le lire. Que vous soyez sur amazon pour la pub grand bien vous fasse, mais sachez que vous vous coupez des lecteurs lambdas, et de tous ceux qui boycottent amazon. Vous ne comprenez pas ? Ce n’est pas / plus mon problème …vous êtes pour un format « propriétaire » tout ce que je déteste.

Ce n’est pas à moi de me démerder pour vous lire en téléchargeant des logiciels de merde sur mon ordi c’est à vous de faire l’effort pour que vos œuvres soient accessibles ailleurs et sans DRM

je ne suis pas une VOLEUSE

Jer uis comme Cédric fatiguée par ce système qui nous oblige même sans compétence à toujours réclamer de l’aide pour quelque chose qu’on a acheté ..capitalisme de merde , grosse daube et arnaque.

Alors vos DRM vous vous les foutez au cul !!

Les éditeurs qui flouez les auteurs allez au diable

Les auteurs auto-édités qui vendez vos ebooks avec DRMs idem ! Non mais quelle honte !!!

Très cordialement et très honnêtement arrêtez vos déblatérations qui font suer les lecteurs et les éloignent de vous. Je vais en librairie et j’achète un livre papier je n’ai pas l’intention de me prendre le chou pour le lire ni télécharger un programme que je déteste pour ça . Le moindre des respects pour les ebooks hé bien c’est ça ! Je ne suis pas une voleuse potentielle et si vous collez des DRMs allez vous faire voir, très cordialement

En plus un ebook à 14 € ( même à partir de 10 € ) vous pouvez aller cordialement vous faire voir parce que la version papier ne sera qu’à 4/ euros moins  cher

On se fout de qui là ? Du lecteur !!

Hé bien moi je vous dis ça sera sans moi et je ne suis pas la seule à penser ainsi

Arrêtez de nous prendre pour des cons.

Cédric prend soin de toi, à bientôt j’espère

Bisous …

 

 

Bisous

Au départ, je m’étais dit et je l’ai même annoncé sur twitter : « tiens je vais expliquer comment on peut être timide et rentre-dedans à  la fois. » J’ai rédigé, j’ai relu et ça m’a pas plu. Hop à la poubelle le bidule incompréhensible, oui, parfaitement et c’est pas parce que je vous prends pour des cons, non pas du tout, c’est que même moi je n’étais pas convaincue.Pour entrer dans le coeur du sujet, il aurait fallu que j’étale des pans de ma vie …or j’ai pas l’intention de faire de Dzahell  un journal intime.

Et puis mon humeur massacrante du jour n’arrange pas les choses. Je suis bien allée dans mon jardin gueuler un bon coup ( les voisins ont dû être ravis ) mais ça n’a pas suffit à dégager ce monstre de colère noire. Je me demande si je ne vais pas investir dans un punching-ball !

Reste une autre solution : l’écriture, pourquoi se gêner après tout ? Bon, les écrivains et tout, ne rugissez pas d’avance : non, je ne suis pas auteur, non, je vais pas aller sur vos plate-bandes, non je ne suis pas ‘ une blogueuse qui se la joue intello écrivaillonne’. Puis d’abord je suis chez moi, j’écris ce que je veux et comme je le veux, donc visiteur si t’es pas content, passe ton chemin et oublie tout de suite cette adresse.

Quand j’ai ouvert Dzahell, j’ai longtemps hésité à y créer des catégories. Pour moi, il y a la littérature un point c’est tout : des histoires, leurs auteurs et nous, les lecteurs. Les catégories ça ne sont jamais que des petites cases avec des mots, parfois des images, dedans. Ça n’est que mon avis : c’est un tue la curiosité, c’est un éteignoir à découvertes.

Ceci dit je suis la première à exprimer une certaine préférence pour le roman noir et je m’en suis expliquée plusieurs fois. J’y apprécie le réalisme cru et l’analyse de nos sociétés, tout n’y est pas ou tout noir ou tout blanc. J’ai déjà, placé un roman dans un autre genre que celui lancé par l’éditeur, après tout c’est moi qui décide ici. Mais comme vous avez besoin de repères, j’ai tout de même opté pour cette présentation, en espérant fortement que votre curiosité vous poussera à explorer. Tout ça pour en arriver à écrire ce qui suit.

Si je suis autant énervée, agacée, révoltée c’est que les années passent mais il reste toujours autant de censure ( consciente ou pas ), de préjugés, et de rigidité face à l’écriture ( et plus largement l’art ). Voilà un auteur Lilian  Peschet qui poste en ce moment des extraits d’une de ses nouvelles qui traite du coaching du suicide et qui reçoit par courriel des remarques du style «connaissez-vous la limite entre l’humour et le mauvais goût… » Mais punaise, dans quel siècle vit-on pour qu’on ne sache pas prendre de distance face à une œuvre ? Le sujet dérange et alors ? Il n’y fait pas l’apologie du suicide que je sache. Y a des auteurs qui tuent au kilomètres dans leurs romans, on les taxe pas d’être des tueurs en série pour autant , Pourquoi y aurait-il des sujets autorisés et d’autres tabous ?

J’aurais bien voulu demander à cette personne si elle a pris la peine de lire les autres nouvelles en ligne ? Si non, elle aurait dû. Elle se serait aperçu que cet auteur est talentueux, certes il titille et certains sujets peuvent déranger mais punaise c’est justement le questionnement qui est passionnant en plus de la qualité de son écriture. J’espère vraiment et du plus profond du cœur, que les éditeurs ne se soucient pas de ces remarques débiles et qu’ils ont de l’audace, de la curiosité sinon bientôt dans nos librairies ne resteront que de l’insipide, du fadasse, du plan-plan, bref du chiant comme la mort.

Y a un relent de vieille pudibonderie archaïque faux-derche qui me monte au nez, ça pue et ça me fâche beaucoup, beaucoup.