Les enquêtes de Ruben Quinquet : Un pastis sinon rien.
La quatrième de couverture : Quand on est en vacances, invité sur l’île au pastis en plein mois d’août, ce peut être le bonheur éthylico-pastoral. Mais quand une poupée se fait décapsuler façon Marie-Antoinette et qu’on retrouve son cadavre dans la chambre d’un juge… cela merdoie dans l’anis, c’est le pavé dans la marre, l’os dans le gaspacho et le boulet dans les pattes. Ruben Quinquet, commissaire sur le port de Marseille, se doit de prendre le manche et rassemble sa sanglante équipe de louftingues surdoués. On va voir ce qu’on va voir…
Si ce résumé ne suffit pas, sachez que ce roman policier est un remède contre la morosité, une enquête menée tambours battants par une équipe complètement folle-dingue affublée de noms tous plus originaux les uns que les autres. Les suspects ne sont pas en reste qui s’appellent Branle, Ripolin, Alex Andrin ou bien encore Jean-Michel Pussot. Quant aux personnalités il vaut mieux vous laisser le plaisir de les découvrir, elles sont inénarrables, impayables, très amusantes, et parfois non dénuées de perspicacité bien sûr.
Ruben aidé de JeanBé, l’estralucide va naviguer dans les milieux de la haute, pas toujours la plus recommandable, qui préfère Aix pour ses frasques. Il apprend que le milieu artistique est plein de convoitise, de mensonge et que les vautours n’en sont jamais bien loin. L’amante « décapsulée » avait dû se mettre à dos du monde. Histoire de pognon? De jalousie ? Et qu’est-ce donc que cette pilule rose-orangée trouvée dans sa main ?
Oui, Ruben Quinquet va devoir agir vite et bien. Et c’est bien ce rythme effréné que l’on suit tout au long de cette enquête.
J’ai rigolé, les jeux de mots sont savoureux, l’intrigue est sympa et les personnages, Ruben et JeanBé sont d’emblée attachants.
Une série d’enquêtes que je vais suivre avec grand plaisir et que je vous conseille vivement.
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